CEDH : le nom du père – Russiagate : John Durham est là – Xi Jinping toujours en difficulté ?

Les juges de la Cours européenne des droits de l’Homme ont décidé début novembre que l’attribution automatique à un enfant du nom de famille de son père avant celui de sa mère, en cas de désaccord entre les parents, était discriminatoire.

Afin de mieux comprendre les implications d’une telle décision, je voudrais partager avec vous les réflexions du pédopsychiatre Christian Flavigny sur cette question.

Pour lui en effet, cette tradition revêt un sens anthropologique profond qu’il ne faut pas ignorer ou juger superficiellement sous l’influence d’un discours féministe réducteur.

Jadis l’enfant portait comme seul nom celui de son père : le patronyme.

Était-ce pour autant le témoignage d’une domination masculine ?

Non, car les registres, paternel et maternel, étaient clairement différenciés.

Le registre maternel n’avait pas besoin d’affichage ; il suffisait à la mère le témoignage d’avoir accouché de l’enfant pour devenir sa mère ; la mère était « certissima » selon le précepte «la mère est celle qui accouche».

Surtout, le registre du maternel avait une présence centrale dans la vie des familles :

Les mères étaient le symbole de la transmission de la vie, elles le portaient avec détermination et courage, sachant les épreuves auxquelles il les confronterait, les souffrances de l’accouchement voire le risque de la mort en couches qui engageait la maternité comme un véritable sacrifice au profit de la venue de l’enfant…

Les hommes cependant contribuaient à leur manière : leur rôle était de protéger la famille.

Le patronyme conféré à l’enfant était revendication de paternité compensant la fameuse incertitude paternelle ; c’était la raison du mariage faisant père «celui que les noces désignent», garantissant la paix des familles et établissant la double filiation, paternelle et maternelle de l’enfant.

Dans son rapport « Project Arachnid: l’accessibilité des images d’abus pédosexuels sur internet », publié en juin 2021, le Centre canadien de protection de l’enfance (CCPE) a indiqué avoir analysé 5,4 millions d’images d’abus pédopornographiques sur internet.

Selon ses conclusions, le fournisseur français Free hébergerait près de la moitié de cette pédopornographie mondiale, et tarde à en supprimer les fichiers.

Pour les trois années de la période étudiée, Projet Arachnid a détecté chez Free plus de 18.000 fichiers d’archives contenant en tout près de 1,1 million de photos et de vidéos assimilables à des images d’abus ou à des images préjudiciables ou violentes.

Aux Etats-Unis, Fox News a rapporté que le conseiller à la sécurité nationale de Joe Biden, Jake Sullivan, a été identifié comme le « conseiller en politique étrangère » mentionné dans l’acte d’accusation contre l’ancien avocat de la campagne présidentielle d’Hillary Clinton, Michael Sussmann.

Ce fait a été signalé pour la première fois par le Washington Examiner.

Sullivan n’était pas la cible de l’enquête du procureur spécial John Durham et l’acte d’accusation ne le décrit que comme ayant reçu des informations, mais il ne fait guère de doute qu’il était au moins au courant.

L’ancien directeur du renseignement national, John Ratcliffe, a déclaré la semaine dernière qu’il s’attendait à ce que l’enquête de Durham produise de nombreux actes d’accusation.

Parce qu’un grand jury a confirmé la nature criminelle du dossier Steele, il s’attend à ce que toutes les personnes impliquées dans sa création et sa diffusion se retrouvent accusées, et cela impliquera les plus hauts niveaux de l’administration actuelle et des agences gouvernementales.

Dans le même temps, contraints par ces accusations et révélations, les médias qui ont répondu ces mensonges à l’époque sont obligés de réécrire aujourd’hui leurs articles publiés il y a quatre ans.

Les deux articles les plus importants du Washington Post qui ont été complètement réécrits avaient été rédigés par Rosalind Heideman et Tom Hamburger en mars 2017 et février 2019.

Sur le plan politique, après une session plénière de trois jours, la direction du Parti communiste chinois a annoncé le 11 novembre l’adoption d’une résolution historique vantant les « réalisations politiques » du secrétaire général Xi Jinping.

Intitulée « Résolution sur les principales réalisations et l’expérience historique du Parti au cours du siècle dernier », il s’agit du troisième document de ce type à être élaboré depuis la fondation du parti en 1921.

Cette résolution historique est généralement considérée par l’opinion publique comme un moyen de renforcer l’autorité de Xi Jinping, qui se prépare à assumer un troisième mandat à la tête du PCC.

Pourtant, comme nous allons le voir, certains indices dans la déclaration suggèrent que la réalité pourrait être toute autre.

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