Biden, Obama et la «collusion russe»… «C’est celui qui dit qui l’est!»

Une vidéo un peu spéciale et plus longue que d’habitude, mais nécessaire pour comprendre pourquoi le discours anti-Trump de collusion russe est une supercherie… tout autant que l’agressivité et les sanctions inoffensives de Biden contre la Russie…

Dans une interview télévisée, Joe Biden a qualifié Vladimir Poutine de tueur, ce à quoi le président russe a répondu avec une boutade : « C’est celui qui dit qui l’est ! »

Le président Donald Trump, bien qu’innocenté par l’enquête Mueller, a été constamment accusé de collusion avec la Russie lors de son mandat et ces accusations sont toujours actives aujourd’hui.

Selon Trump, ces accusations auraient eu pour principal intention de détourner l’attention de la menace chinoise : toujours cibler la Russie pour ne jamais avoir à parler de la Chine.

Quoi qu’il en soit, en suivant le conseil de Vladimir Poutine, regardons de plus près les relations de Biden et d’Obama avec la Russie, tout au long de leur carrière.

«Joe Biden doit sa carrière politique au CLW, une organisation créée par l’agent soviétique Leo Szilard, soutenu par l’argent d’Al Gore Sr., qui à son tour était financé par le meilleur et célèbre ami de l’Union soviétique aux Etats-Unis, le milliardaire Armand Hammer, propriétaire d’Occidental Petroleum .»

Juste après l’élection d’Obama à la présidence le 15 novembre 2008, Sam Webb, alors président du Parti communiste américain, a déclaré à ses camarades de parti:

«La gauche peut et doit faire valoir ses propres points de vue et être en désaccord avec Obama sans être désagréable. Son ton doit être respectueux : Nous parlons à un ami.»

Le jeune Obama, alors qu’il avait seulement 10 ans, a été présenté au poète hawaïen Frank Marshall Davis par son grand-père maternel.

Davis était membre du Parti communiste américain et soupçonné par le FBI d’espionnage pour l’Union Soviétique.

L’autobiographie de Barack Obama de 1995, Les rêves de mon père, contient plusieurs exemples des conseils reçus par Obama de Frank Marshall Davis:

Page 96 à 98, par exemple, quand la grand-mère d’Obama a du mal à convaincre le jeune Obama, toxicomane, de postuler à l’université, c’est à nouveau Frank Marshall Davis qui parvient à convaincre Obama que l’université est nécessaire.

page 91 – Davis a dit à Obama que les Noirs «ont une raison de haïr [les Blancs)».

Obama a expliqué comment il suivait les conseils de Davis:

page 100 – «J’ai choisi mes amis avec soin. Les étudiants noirs les plus politiquement actifs. Les étudiants étrangers. Les Chicanos. Les professeurs marxistes, les féministes structurelles et les poètes de la performance punk-rock.»

Dans un article de Toby Harnden publié dans le Telegraph le 22 août 2008, il a été démontré que Frank Marshall Davis, sous le pseudonyme de Bob Greene, avait écrit une autobiographie pornographique hard-core publiée à San Diego en 1968 par Greenleaf Classics.

Davis a confirmé qu’il était l’auteur de Sex Rebel: Black après qu’un lecteur eut remarqué les «similitudes de style et de phraséologie» entre l’œuvre pornographique et sa poésie. Il a déclaré:
«Je ne pouvais pas alors nier sincèrement que ce livre, qui est sorti en 1968, était le mien.»

Il a en outre déclaré que bien qu’il ait «changé de nom et d’identité… tous les évènements que j’ai décrits ont été tirés d’expériences réelles.»

Un chapitre du livre concerne la séduction par Davis et sa première épouse d’une jeune fille de 13 ans appelée Anne.

Davis a écrit que c’était ensuite la jeune fille qui a suggéré qu’il ait des relations sexuelles avec elle, déclarant:

«Je ne suis pas du genre à choisir les Lolitas. Habituellement, je préfère ne pas coucher avec une fille de moins de 20 ans.

Mais il y a des exceptions. Je ne voulais pas décevoir l’enfant confiante. À son âge encore impressionnable, un rejet pourrait être traumatisant…

Anne est venue plusieurs fois les semaines suivantes, sa tante pensait qu’elle était entre de bonnes mains. Et effectivement, elle l’était.»

Voilà qui était le mentor d’Obama.

Nous allons également parler de la sénatrice de l’État de l’Illinois, Alice Palmer, qui a lancé Obama en politique et qui était également pro-soviétique.

Un autre ami de longue date d’Obama, David Axelrod, a dirigé les campagnes d’Obama en 2008 et 2012 et a été conseiller principal du président.

Pendant ses études à Chicago, Axelrod a été encadré par le journaliste et activiste de longue date de Chicago, David Canter.

Canter a passé son enfance en Union soviétique où son père, Harry Canter, ancien secrétaire du Parti communiste de Boston, a traduit les œuvres de Lénine en anglais depuis le russe.

Surnommée «l’autre moitié du cerveau d’Obama», Valerie Jarrett était une amie de longue date de la famille Obama et la plus proche conseillère du président pendant ses huit années à la Maison Blanche…

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