Budget 2025 : un faux prétexte nommé Trump - 26 mars 2025

📌 Dans cette vidéo, Pascal Bérubé et Joël Arseneau du Parti Québécois réagissent au budget 2025-2026 du Québec 📉 présenté par le ministre des Finances Éric Girard.

🎯 Le PQ dénonce :

Un déficit record de 13,6 G$ qu’il attribue à une gestion déficiente.
Des subventions massives aux grandes entreprises, inefficaces selon eux.
Une croissance bureaucratique nuisible aux services publics.
Une volonté de détourner l’attention avec un observatoire constitutionnel électoraliste.

💬 Le PQ propose plutôt :
La fin des subventions « bar ouvert ».
Une meilleure gestion de l’État et une réduction de la bureaucratie.
La récupération des 82 G$ perdus dans le fédéralisme canadien.
Aucun recours à une hausse d’impôt pour les contribuables.

📢 Une analyse incisive qui révèle les choix politiques derrière le budget. Visionne pour comprendre les enjeux réels ! 👇

00:00 🎤 Accueil de Catherine Gentilcore
00:35 💸 Le déficit : Trump ou CAQ ?
01:49 🏭 Subventions et échecs financiers
02:50 🏢 Bureaucratie vs services publics
03:48 🚗 Taxe véhicules verts : une diversion ?
05:15 🏥 Santé : coupes déguisées
06:51 📉 Conséquences dans les réseaux
07:50 👮 Sécurité lors du huis clos
08:54 🕵️ Sur-contrôle et démocratie ?
10:08 ⚖️ Confiance envers les députés
11:39 📉 Défaut structurel et Trump comme bouc émissaire
12:13 🧾 Plan de retour à l’équilibre : crédible ?
14:00 🇶🇵 Observatoire constitutionnel : stratégie électoraliste

🏛️ Contexte politique Le budget est présenté dans un contexte de tension économique, exacerbé par les politiques protectionnistes de Trump. La CAQ tente de justifier le déficit par des facteurs externes, mais l’opposition, notamment le PQ, y voit une gestion hasardeuse et idéologique. Le débat s’enracine dans les visions opposées de l’État : intervention économique versus rationalisation des dépenses publiques.

⚖️ Comparaison des opinions des intervenants
CAQ : mise sur l’innovation, les crédits aux entreprises et un retour graduel à l’équilibre.
PQ : critique des subventions, mise sur la réduction de la bureaucratie, valorisation du nationalisme économique.
QS (en marge) : dénonciation des coupes dans les services et proposition d’augmenter les revenus par des mesures fiscales ciblées.
PLQ : critique de l’inefficacité, mais plus prudent sur la fiscalité.

📢 Réactions et controverses
Certains médias dénoncent le manque de transparence du budget.
Des experts s’inquiètent de la dépendance aux subventions.
Le huis clos budgétaire est jugé excessivement contrôlé, soulevant des questions sur la liberté des députés.
L’observatoire constitutionnel est perçu comme un outil électoral.

📜 Conséquences législatives et sociales
Risque de réduction des services publics dans la santé et l’éducation.
Hausse du scepticisme citoyen envers la gouvernance.
Possibles tensions fédérales-provinciales accentuées par le discours nationaliste.

❓ Questions clés soulevées
Le gouvernement peut-il vraiment blâmer Trump pour le déficit ?
Les subventions aux entreprises profitent-elles réellement à l’économie ?
Comment équilibrer les finances sans couper dans les services ?
Le fédéralisme est-il un fardeau financier pour le Québec ?
L’observatoire constitutionnel est-il un gadget électoral ?

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