Trump répond à Michelle Obama : "C'est elle qui est dépassée"

Ce qu’a dit Michelle Obama : https://youtu.be/oFjFi7CC3CA
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Source ➡️ https://youtu.be/reQHl-zI8sU

Traduction : Alexandra Lépée

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#FilsDePangolin

Voulez-vous réagir au discours de Michelle Obama d’hier soir, dans lequel elle a déclaré que vous êtes dépassé et que vous êtes le «mauvais président» ?
LE PRÉSIDENT : Oui, non, c’est elle qui est dépassée. Et, franchement, elle aurait dû faire le discours en direct, ce qu’elle n’a pas fait ; elle l’a enregistré. Et elle ne l’a pas seulement enregistré, elle l’a enregistré il y a longtemps parce qu’elle s’est trompée sur le nombre de décès. Elle n’a même pas mentionné la candidate à la vice-présidence dans son discours. Et, vous savez, elle a droit à ces critiques dithyrambiques. Si vous donniez un vrai avis, il ne serait pas aussi flatteur. J’ai trouvé que c’était un discours très diviseur, extrêmement diviseur.
Ma campagne suscite beaucoup d’enthousiasme grâce à des sujets comme ceux dont nous parlons actuellement – le prix des médicaments et les baisses de prix des médicaments, et la transparence avec les hôpitaux et les médecins qui vont réduire les factures de 50 %, 70 %. Vous parlez de chiffres qui sont incroyables.
Il existe une intervention – je ne dirai pas laquelle – mais il existe une intervention pour laquelle un hôpital demandait 2 500 dollars ; un autre hôpital demandait 32 dollars pour exactement la même intervention, en utilisant exactement le même matériel. Et les gens ne pouvaient pas se déplacer ni même bénéficier de cette option – et c’était exactement la même chose.
Et bien, nous avons fait une étude, et celui pour 32 dollars a en fait été plus performant. D’accord ? Que pensez-vous de cela ? 2 500 $ / 32 $ – et le moins cher a fait mieux, en utilisant exactement la même chose. C’est de cela dont nous parlons. Nous parlons de chiffres incroyables.
Non, j’ai trouvé son discours très diviseur. Et, franchement, je ne serais même pas là si ce n’était pour Barack Obama. Vous comprenez ? Nous sommes à la Maison Blanche. Je ne serais pas à la Maison Blanche sans Barack Obama. Parce qu’ils ont fait du mauvais boulot – Biden et Obama. Et s’ils avaient fait du bon travail, je ne serais pas ici ; je serais en train de construire des buildings quelque part et de prendre du bon temps.
Vous avez comparé votre réponse face au coronavirus à leur réponse face au H1N1, mais les décès –
LE PRÉSIDENT : Eh bien, ils ont obtenu de très mauvaises évaluations. Si vous regardez le sondage Gallup – le sondage Gallup a réalisé une évaluation les concernant. Maintenant, il faut comprendre que c’était une maladie beaucoup moins virulente. Ce n’était pas la même chose – pas dans la même catégorie.
Mais seulement moins de 13 000 personnes en sont mortes….
LE PRÉSIDENT : Mais – oui, oui, je sais. C’était aussi une maladie beaucoup moins grave. Mais ils ont reçu de très mauvaises appréciations. Gallup a émis de très mauvaises critiques. Et d’ailleurs, Gallup, en même temps, nous a décerné de très, très bonnes critiques pour le travail que nous avons accompli.
Donc, si vous regardez le sondage Gallup d’il y a quelques mois, nous avons obtenu de très bonnes appréciations, et ils en ont reçu de très mauvaises. C’était – c’était – je veux dire, les évaluations qu’ils ont reçues pour la gestion de la grippe porcine ou H1N1, que Biden appelle «N1H1» – et je ne le corrige même pas sur ce point. Je ne le corrige même pas. J’ai dit : «Oh, c’est une erreur que nous pouvons faire». Mais c’est comme ça qu’il l’appelle. Il a – il a un peu confondu, mais c’est pas grave.
Jetez un coup d’œil au sondage Gallup. Et il y en a eu d’autres aussi. Ils ont reçu des notes terribles – et cette maladie est bien moins problématique.
D’accord ?
Monsieur le Président, soutenez-vous les manifestants en Biélorussie ? Et avez-vous un message pour –
LE PRÉSIDENT : Est-ce que je soutiens les manifestants et les terroristes ?
Q : En Biélorussie.
PARTICIPANTS : Bélarus.
Q : En Biélorussie.
LE PRÉSIDENT : Oh, je croyais que vous aviez dit «manifestants et terroristes».
Q : Et avez-vous un message pour Moscou, concernant une éventuelle intervention militaire en Biélorussie ?
LE PRÉSIDENT : Oui. Il faut que vous me compreniez : J’aime la démocratie. Le mot Démocratie est très important. On dirait que la démocratie n’est pas très présente en Biélorussie. Mais nous parlons à beaucoup de monde. Et nous parlerons, le moment venu, à la Russie. Et nous parlerons à d’autres personnes qui sont impliquées.
Mais c’est assurément une très grande manifestation. Et il semble que ce soit une manifestation très pacifique, contrairement à certaines des…