Youssef Hindi raconte comment il a évité le piège judiciaire grâce à... VOUS.

📢 Regardez l’interview complète : YOUSSEF HINDI CONVOQUÉ PAR LE GLAT : IL PREND LA PAROLE EN DIRECT http://www.youtube.com/watch?v=lXnxCl2kWE8

La parole, bouclier contre l’injustice

Quelques jours avant son audition, Youssef Hindi avait diffusé une vidéo alertant sur la nature suspecte de cette convocation. Relayée massivement sur les réseaux sociaux grâce à une première vidéo publiée par Radio 2.2, l’affaire a rapidement gagné en visibilité.

“Ce tapage médiatique a tout changé”, affirme-t-il. “Quand vous exposez les intentions en amont, quand vous démontrez qu’il s’agit d’un guet-apens, vous coupez l’herbe sous le pied à ceux qui veulent vous piéger. C’est comme conjurer un sort. […] Ma vidéo a dépassé les 100 000 vues. Et je peux vous assurer que cela a pesé, directement, dans la salle d’audition.”

Car l’appareil judiciaire, aussi verrouillé soit-il, est sensible à la pression populaire. Des policiers, des magistrats, voire des agents de l’administration, voient ce qui se passe.

“Ils savent quand une procédure est bancale. Certains ne peuvent pas parler, mais ils n’en pensent pas moins. Le regard du public les force à se tenir un minimum droit.”

Vous, auditeurs, êtes un contre-pouvoir :

L’enseignement de cette affaire est limpide : la mobilisation populaire, même numérique, peut faire basculer une situation.

“Ceux qui commentent, qui partagent, qui mettent des likes, ce ne sont pas des anonymes inutiles. Ce sont des gens qui renforcent la légitimité de ceux qu’on essaie de faire taire. Vous êtes un pouvoir. Réel, concret.”

Dans un monde saturé de récits contrôlés, Internet devient un terrain d’expression politique, et les citoyens, en réseau, deviennent les garants d’un certain équilibre démocratique.

Ce que cela signifie pour nous tous :

Ce témoignage n’est pas seulement une alerte sur une dérive judiciaire. C’est aussi un appel à la conscience collective. Car si certains utilisent le silence et la peur pour imposer des verdicts, d’autres — comme Youssef Hindi — démontrent que la lumière, la parole publique et la solidarité citoyenne peuvent retourner la situation.