De l’été de «l’ensauvagement» à la rentrée zemmourienne

Délinquance ethnique, travailleur issu de l’immigration et migrant soudanais !

Après avoir caché la délinquance ethnique pendant des années, il semble que les médias de masse en font désormais des tonnes sur le sujet.

Soit c’est parce que le phénomène s’aggrave et qu’on ne peut plus le cacher.

Soit c’est une conséquence de la montée du national-sionisme, afin d’aider à la prise de pouvoir de la ligne Zemmour…

Le fait est que par cet incessant – et nouveau – travail médiatique, le Français ne voit plus l’immigré nord-africain que comme un ado délinquant, ce qui occulte toute une France du travail issue de l’immigration…

Maintenir l’équilibre entre racaille adolescente et travailleur (adulte de ce simple fait) doit être la ligne E&R.

En outre, et étrangement, le migrant soudanais est épargné, alors qu’il représente un danger bien plus profond.

Ce qui semble indiquer qu’on est bien dans une opération pro-zemmour pour préparer sa rentrée !

CQFD :

La sortie du nouveau livre d’Éric Zemmour annoncée.

Soral a toujours raison !

C’est le tube de l’été 2020 en France : « l’ensauvagement ». Aussitôt terminée la séquence Black Lives Matter/Comité Adama (qui elle-même succédait au confinement), les Français ont vu les médias dominants et leurs relais serviles sur les réseaux sociaux matraquer le même message : la délinquance arabo-musulmane est partout, elle gâche les vacances des citoyens déjà éreintés par le coronavirus…

On ne va pas tout répertorier ici mais rappelez-vous des faits les plus marquants agités par les titres de presse d’habitude silencieux sur ces sujets :

 Bayonne : Philippe, conducteur de tram’bus, est tué par cinq racailles maghrébines ;

 Lyon : Axelle Dorier, aide-soignante de 23 ans, est mortellement percutée et traînée par une voiture (après une transaction ayant mal tourné, les deux racailles maghrébines étant probablement les dealers de la jeune femme mais la presse n’en parle pas) ;

 Palavas-les-Flots : les habitants se révoltent contre la délinquance des « jeunes de cités » ;

 Neuchâtel (Suisse) : des militants « d’extrême droite » menacent de créer des milices contre des « jeunes Nord-Africains en errance et souvent liés à l’asile » ;

 Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne) : la gendarme et championne de judo de 26 ans Mélanie Lemée est fauchée par un « jeune Français d’origine maghrébine qui roulait sous l’emprise de stupéfiants à une vitesse supérieure à 130 km/h » ;

 Lyon : Augustin, 17 ans, proche de l’Action française, est agressé (coup de poing par derrière) « par un groupe de cinq racailles colorées après avoir porté secours à des filles subissant une agression » (les filles contestent l’agression et parlent d’une drague pesante).

Si « l’ensauvagement » est bien réel, il ne date pas d’hier (comme nous le rappellent ici Félix Niesche et Hervé Ryssen). Pourtant, les médias et les politiques ont tenu à le traiter comme un phénomène récent et exponentiel (ce que les statistiques démentent ?) [1]…

Qu’en déduire ? Que le Système dans sa globalité se « droitise » et qu’il a décidé de prendre à bras-le-corps la question de l’immigration et de la délinquance ethnique ? Très bien, mais alors :

 pourquoi ne pas toucher un seul mot de la délinquance subsaharienne (« Les jeunes Noirs français issus de l’immigration africaine, sont, à conditions sociales égales, 3 à 4 fois plus souvent mis en cause en tant qu’auteurs de délits que les autochtones. » nous dit pourtant cet article de 2010) et de la menace profonde que représente l’installation en France de milliers de migrants, non pas Nord-Africains mais Noirs africains ? Migrants qui sont principalement des jeunes hommes seuls et faméliques, non francophones et en confrontation immédiate avec les mœurs françaises car non issus de notre ancien empire colonial… et qui constituent donc de véritables bombes à retardement…

 pourquoi ne jamais parler de la composante juive centrale et motrice dans ces phénomènes (de BHL et Julien Dray à Marcel Dassault, marionnettiste de l’homme du regroupement familial Jacques Chirac [2]) ?

La nouvelle division raciale du travail oligarchique

Outre le fait que cette focalisation politico-médiatique a servi de diversion et permis d’amoindrir la contestation populaire quant à la gigantesque manipulation sanitaire et stratégie de casse sociale de la coronapsychose, remarquons encore que :

 dans cette nouvelle division raciale du travail oligarchique, les « Noirs » semblent être uniquement dévolus au rôle de proxies de l’antiracisme : qu’importe que George Floyd, Jacob Blake et Adama Traoré soient des délinquants multirécidivistes, ils seront érigés en victimes du « racisme systémique ». Black Lives Matter est le nouveau SOS Racisme et l’antiracisme sera black ou ne sera pas [3] ;

 l’ingénierie estivale a fortement poussé à considérer que l’islam se tenait derrière les « sauvageons nord-africains » : les pseudo-affaires des seins nus et des tenues provocantes dans les supermarchés montées en épingle par les féministes libérales idiotes utiles (#JeKiffeMonDécolleté, #topless sur Twitter) servant à renforcer cette médiation ;

 les « analystes » – plébiscités par le Système – Zemmour, Onfray et Goldnadel (on a mis Michel en sandwich) conceptualisent le tout (« Tout est de la faute de l’islamo-gauchisme ! ») et envoient leurs épigones (Céline Pina, Marion Maréchal, Charlotte d’Ornellas, Jean Messiha) distiller le message suivant : l’ensauvagement est d’essence musulmane et les antiracistes sont complices des Arabes ! Un message d’autant plus facile à faire passer que cette bataille du discours est un combat truqué : les musulmans (qui sont principalement des adultes travailleurs) n’ont tout simplement pas la parole et ce sont les « nouveaux antiracistes » décrits ci-dessus qui sont utilisés comme sparring-partner médiatiques, la gauche indigéniste Black Lives Matter (structurée non pas par l’islam mais par Hollywood et l’antifascisme universitaire) étant un adversaire facile à abattre ;

La franc-maçonne Céline Pina (qui s’était illustrée en 2016 en quittant le Printemps républicain de Manuel Valls, ne le trouvant pas assez sioniste, c’est dire !) peste contre la République (pas assez sioniste à ses yeux non plus !) :

 la Macronie sert elle aussi de parfait sparring-partner : sparring-partner de gauche (le Président qualifie les exactions « d’incivilités », deux poids deux mesures flagrant au niveau de la répression entre les manifestations antiracistes et les casseurs supporters du PSG d’un côté et les anti-masques et les Gilets jaunes de l’autre) et sparring-partner de droite (coup de téléphone à Zemmour, « sarkozisation » du gouvernement, Valeurs actuelles protégé par la police). Un habile positionnement politique réactivant l’utile clivage racisme/antiracisme (né, rappelons-le, de l’affaire Dreyfus et du syndicat Rothschild), plus que jamais utile car permettant de mettre de côté la brûlante question sociale.

Symbole de la reconstitution de l’UMPS : le couple formé par Dupont-Moretti et Darmanin

Zemmour 2022

Bref l’été de « l’ensauvagement » est une manipulation et une récupération de plus qui sert à la fois de répétition et de tremplin à la rentrée nationale-sioniste qui s’annonce.

Rentrée bouillonnante au niveau de la contestation populaire (sociale et sanitaire) qui est bien celle que le pouvoir veut littéralement museler, étouffer et détourner. Et qui est tout désigné pour canaliser et orienter la colère des Français ? Éric Zemmour, le soi-disant sauveur de la France blanche et de la liberté d’expression acculées par les « sauvages » qui réduira les aspirations nationales et sociales françaises au racialisme sécuritaire israélien !

Comme prévu !

Le but de la manœuvre étant la reconstitution de la synthèse oligarchique que représentait Nicolas Sarkozy, à la fois ultra-libéral et ultra-sioniste.

Poussé par le Système, le national-sionisme est en passe de prendre définitivement le pouvoir sur le vieux socialo-sionisme (soit le passage de Cohn-Bendit à Zemmour) et le fantoche islamo-gauchisme. Une fois cette victoire actée, le national-sionisme s’affichera pour ce qu’il est : un moyen de pression sur le néolibéralisme macronien dont les militants « natios » adeptes du fumeux « judéo-christianisme » ne seront que les cocus… La véritable vocation du national-sionisme étant de « sioniser » Macron, pas de le remplacer.

C’est pour cette raison que le salarié du quatuor tribal Dassault-Bolloré-Saada-Nedjar sortira son prochain livre en octobre 2021 et constituera une sorte de programme présidentiel à l’intention des candidats à la présidentielle de 2022.

Le Macrono-zemmourisme est en marche !

Alain Soral et E&R : un gros caillou dans la chaussure oligarchique

Si l’été de « l’ensauvagement » est une relative fiction, l’été de la répression est une réalité pour Alain Soral, E&R et Kontre Kulture : virés de YouTube (quasiment à la minute même où Dupont-Moretti entrait au gouvernement), virés de VK, garde-à-vue et énorme menace d’incarcération pour Alain Soral, descente d’intimidation et menaces de mort de la part des voyous ethniques Mathias Cardet, Jo Dalton et du leader de la LDNA (le premier étant un manipulateur tenu par les services de police, les deux autres étant des tirailleurs de l’antiracisme engagés pour faire le sale boulot avant de se faire sacrifier par le Système) devant les locaux d’E&R…

Sans oublier ces deux événements « symboliques » qui rappellent bien que la volonté de nous faire taire – nous la véritable insoumission française – est plus que jamais à l’ordre du jour :

 le tag « Reynouard a raison » sur la façade du musée qui ouvre l’accès au village d’Oradour-sur-Glane ;

 le vandalisme du livre d’or de l’église de Buzet-sur-Baïse (Lot-Et-Garonne) que le curé (un Noir africain !) a décrit comme suit : « Le recueil a été dépouillé de tous ses feuillets d’habituelles appréciations des visiteurs pour ne laisser qu’une feuille d’un contenu injurieux, irrespectueux et pervers. C’est la même écriture qui avait déjà commencé son travail profanateur sur un premier écrit quelques jours auparavant, en faisant notamment référence à la philosophie d’extrême droite d’Alain Soral . »

«Bande de dégénérés» c’est du Laïbi, pas du Soral !

Deux signaux qui tendent à confirmer le fait que la diabolisation ne s’arrêtera pas et qu’il faut s’attendre à n’importe quel prétexte utilisé pour se débarrasser de cet empêcheur de tourner en rond (zemmouro-macroniser la France) qu’est Alain Soral !

Conclusion

Un tabou a été mis sur la « sauvagerie » africaine et le chaos migratoire (Black Lives Matter oblige) ; les revendications sociales ont été réprimées dans le sang par l’État policier ; les anti-masques sont ralliés comme des cas psychiatriques et des complotistes antisémites en puissance ; il semble désormais interdit aux Français de se rebeller contre quoi que ce soit à part l’islam (probablement la puissance réticulaire la plus faible de France)…

Tout concorde vers la stérilisation et le contrôle du pays.

Tout ?

Non, un petit festival de Gaulois réfractaires a résisté cet été, au milieu des manipulations.

Et le caillou dans la chaussure qu’il représente n’est pas prêt de s’arrêter de grandir.

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